La précédente municipalité avait anticipé sur ce dispositif en mettant en place un service d’accueil minimum.
La nouvelle majorité municipale, opposée à cette entrave au droit de grève, a mis fin à ce dispositif par délibération du 25 avril dernier.
La majorité municipale estime, dès lors, que les enseignants en grève, ne sont plus dans les établissements, que l’on est en présence d’une situation où l’encadrement est insuffisant, ce qui peut donner lieu à de graves problèmes de sécurité…
Bien que la loi ne fixe aucune obligation en ce qui concerne la qualification du personnel ou le taux d’encadrement des enfants, il apparaît que seuls les employés municipaux, intervenant sur les temps scolaires et périscolaires, sont à même d’assumer cette responsabilité.
Il est donc évident que ce choix d’encadrement exclut le recours à des employés municipaux non formés, ne connaissant ni les lieux ni les élèves.
Le Maire de Toulouse est bien conscient des difficultés que cela peut entraîner pour certaines familles, persuadé toutefois que les parents comprendront et approuveront la position de la majorité municipale soucieuse de ne pas négliger la sécurité des enfants dans les écoles.
A la veille d’une grève nationale des enseignants la majorité municipale confirme ce choix et le Maire de Toulouse a donc signifié au Recteur l’impossibilité de la mise en œuvre du dispositif service minimum : « En tant qu’élu de la République, je suis respectueux de la loi. En tant que maire je suis responsable de la sécurité et du bien – être des élèves accueillis dans les écoles de ma ville. »
Par ailleurs P. Cohen a informé les parents d’élèves par le biais d’un courrier, adressé à chacun d’entre eux.
Bien que la loi ne fixe aucune obligation en ce qui concerne la qualification du personnel ou le taux d’encadrement des enfants, il apparaît que seuls les employés municipaux, intervenant sur les temps scolaires et périscolaires, sont à même d’assumer cette responsabilité.
Il est donc évident que ce choix d’encadrement exclut le recours à des employés municipaux non formés, ne connaissant ni les lieux ni les élèves.
Le Maire de Toulouse est bien conscient des difficultés que cela peut entraîner pour certaines familles, persuadé toutefois que les parents comprendront et approuveront la position de la majorité municipale soucieuse de ne pas négliger la sécurité des enfants dans les écoles.
A la veille d’une grève nationale des enseignants la majorité municipale confirme ce choix et le Maire de Toulouse a donc signifié au Recteur l’impossibilité de la mise en œuvre du dispositif service minimum : « En tant qu’élu de la République, je suis respectueux de la loi. En tant que maire je suis responsable de la sécurité et du bien – être des élèves accueillis dans les écoles de ma ville. »
Par ailleurs P. Cohen a informé les parents d’élèves par le biais d’un courrier, adressé à chacun d’entre eux.