Alors que le Planning Familial vit des heures difficiles, avec la diminution drastique des subventions d’Etat (- 42 %) qui causeront à court terme la disparition d’un tiers des associations départementales ; Madeleine Dupuis, du groupe SRR à la Mairie de Toulouse, Conseillère Municipale Déléguée à l’égalité Hommes – Femmes, évoque en trois questions / réponses, la situation de mort annoncée que vivent les associations du Planning Familial.
Quels risques font courir les diminutions d’aides programmées par l’Etat ?
En diminuant de 42 % pour 2009 le montant affecté au conseil conjugal et familial, l’Etat programme la suppression des associations intervenant sur l’accueil, l’information et l’orientation pour la contraception, la fécondité, la sexualité… (mission confiée en 1967 par la Loi Neuwirth.)
La suppression des financements pour ces actions entraînera la disparition d’1/3 des associations !
Le planning familial (70 associations départementales implantées sur tout le territoire et les DOM, et 450 000 personnes rencontrées chaque année.) se mobilise contre la politique du gouvernement.
En diminuant de 42 % pour 2009 le montant affecté au conseil conjugal et familial, l’Etat programme la suppression des associations intervenant sur l’accueil, l’information et l’orientation pour la contraception, la fécondité, la sexualité… (mission confiée en 1967 par la Loi Neuwirth.)
La suppression des financements pour ces actions entraînera la disparition d’1/3 des associations !
Le planning familial (70 associations départementales implantées sur tout le territoire et les DOM, et 450 000 personnes rencontrées chaque année.) se mobilise contre la politique du gouvernement.
Solidaires !
Les Elus du groupe SRR à la mairie de Toulouse – très impliquée dans le fonctionnement du Planning Familial (Subvention de 4000 euros par an, sur projets et prêt de locaux au 95 de la Grand rue Saint Michel) avec le Conseil régional et le Conseil Général - sont solidaires des associations du Planning Familial et protestent « contre une politique aux conséquences désastreuses : dégradation de la solidarité, remise en cause de la cohésion sociale, abandon de l’Education, des associations, du travail social, négation du travail des mouvements d’éducation populaire, médias muselés, justice partisane, etc.… ».
Qui fera les frais de l’application de ces mesures ?
Avec le Planning Familial, à Toulouse comme dans les zones rurales de Midi – Pyrénées nous constatons chaque jour dans les permanences et les actions de terrain, les dégâts d’une politique d’inégalité d’accès aux droits et à la solidarité avec des conséquences immédiates sur les plus pauvres et les plus fragiles de notre société.
Avec ses nouvelles mesures gouvernementales, nous craignons avec les associations la mort des antennes régionales du Planning familial.
Les Elus du groupe SRR seront particulièrement vigilants sur l’évolution de ces mesures inacceptables, estimant que ce n’est pas en privatisant les réponses et en supprimant les financements publics aux actions de prévention, de formation et de sensibilisation, que notre société va évoluer vers plus de justice, de solidarité et d’égalité.
Les Elus du groupe SRR à la mairie de Toulouse – très impliquée dans le fonctionnement du Planning Familial (Subvention de 4000 euros par an, sur projets et prêt de locaux au 95 de la Grand rue Saint Michel) avec le Conseil régional et le Conseil Général - sont solidaires des associations du Planning Familial et protestent « contre une politique aux conséquences désastreuses : dégradation de la solidarité, remise en cause de la cohésion sociale, abandon de l’Education, des associations, du travail social, négation du travail des mouvements d’éducation populaire, médias muselés, justice partisane, etc.… ».
Qui fera les frais de l’application de ces mesures ?
Avec le Planning Familial, à Toulouse comme dans les zones rurales de Midi – Pyrénées nous constatons chaque jour dans les permanences et les actions de terrain, les dégâts d’une politique d’inégalité d’accès aux droits et à la solidarité avec des conséquences immédiates sur les plus pauvres et les plus fragiles de notre société.
Avec ses nouvelles mesures gouvernementales, nous craignons avec les associations la mort des antennes régionales du Planning familial.
Les Elus du groupe SRR seront particulièrement vigilants sur l’évolution de ces mesures inacceptables, estimant que ce n’est pas en privatisant les réponses et en supprimant les financements publics aux actions de prévention, de formation et de sensibilisation, que notre société va évoluer vers plus de justice, de solidarité et d’égalité.