En cette veille de Toussaint, Bruno Amiel conseiller municipal, délégué cimetières et pompes funèbres a organisé cette semaine une revue de détail sur l’ensemble des cimetières toulousains, avec un arrêt prolongé au cimetière suburbain de Cornebarrieu, où il a rencontré les personnels et procédé à un véritable état des lieux.L’élu du groupe SRR de la mairie de Toulouse était accompagné de Mme Bonnin directrice du service des cimetières à la mairie de Toulouse et de M. Dumont responsable du crématorium.
L’on notera que ce crématorium de Cornebarrieu est le seul du département de la Haute Garonne et que les incinérations représentent 25 % des différents modes « d’enterrements », soit environ 1700 incinérations ; pourcentage identique à la moyenne nationale. (Il faut préciser que l’on ne procède à l’incinération qu’en fonction des dernières volontés du défunt.)
Bruno Amiel devait évoquer les orientations du service des pompes funèbres dans l’esprit du développement durable, avec l’incinération qui reste le moyen le plus propre, écologiquement parlant.
Il faut savoir que dans ce domaine les normes européennes vont devenir de plus en plus strictes et en particulier au niveau des fours. Aussi la municipalité de Toulouse a t–elle anticipé sur ces normes, avec des investissements d’importance, prévus au budget 2009 de la ville.
Concernant la politique de la municipalité de Pierre Cohen en matière de cimetières, il est à noter que le développement des colombariums est en cours sur le site de Rapace et à Pouvourville ; la pérennisation encore des équipes d’entretien qui permettra , toujours en terme de développement durable une récupération moins onéreuse des concessions échues.
Tout est prêt en tout cas pour accueillir en cette période de Toussaint les familles des défunts, venues rendre hommage à leurs proches disparus.
